La majorité des personnes qui mangent sans viande le font par pur souci de préserver les animaux. Ils agissent par principe de ne pas tuer un être vivant pour en faire leur repas.
D’autres, en revanche, croient que ce mode alimentaire est plus sain, car il leur apporte un certain équilibre nutritif et renforce leur système immunitaire. Cependant, il s’avère aujourd’hui que cela pourrait aussi avoir des inconvénients.
En effet, une récente recherche basée sur 18 travaux effectués sur 160 275 participants a clairement établi un lien entre la santé mentale et la consommation de la viande. Les résultats ont révélé que les personnes qui n’en mangent jamais sont deux fois plus exposées au risque d’avoir de sérieux soucis psychiques.
Il convient toutefois, à ce stade de l’analyse, de comprendre qu’il y a grande différence entre un végétarien et un végétalien. Le premier, bien connu de la plupart d’entre nous, désigne l’individu qui ne se nourrit d’aucune viande, alors que le second s’interdit tout produit d’origine animale, comme les œufs, le lait, etc.
Le Dr Edward Archer de l’Université d’Alabama et auteur principal de l’étude a affirmé que la consommation de viande permettait d’avoir une meilleure santé psychologique.
Ses collègues et lui pensent qu’une alimentation composée uniquement de plantes comporte des risques inévitables de sombrer dans un état dépressif, voire suicidaire.
Bien entendu, les bienfaits du végétarisme sur le métabolisme comme la réduction du cholestérol ou du taux d’obésité ne sont plus à prouver, mais la santé mentale devrait faire partie des priorités lorsque l’on veut définir ce que doit être une nourriture saine. Nous devons aussi en prendre compte pour déterminer les avantages et les méfaits de régimes alimentaires spécifiques.
Pour sa part, le cardiologue Aseem Malhotra encourage ses patients à consommer de la viande pour se préserver de troubles comportementaux tels que l’anxiété ou l’automutilation.
Quoi qu’il en soit, aucun aliment n’est tout à fait bon ou mauvais, il faut juste apprendre à manger de tout, sans abuser d’un mets en particulier. C’est là le secret d’une bonne hygiène de vie.
Il ne faut pas être furieux de lire un article qui parle d’une étude qui contredit votre conviction. Ca revient à se voiler la face. Si vous ne souhaitez entendre que ce qui flatte votre idée préalable, vous mettez l’évolution intellectuelle, le progrès vers la vérité hors de votre portée. N’est pas vrai que ce qui ne vous rend pas furieux.
C’est en lisant ce type de commentaire qu’on peut considérer que lez vegans ont perdu toute humanité, tout sentiment envers leurs congénères vers qui devrait normalement tendre prioritairement leur compassion.
Bonjour, avez vous des preuves formelles de ce que vous affirmez ? Imaginez simplement que cette étude soit sincère et correcement menée . Il se pourrait alors que ce qu’elle affirme soit vrai et bouleverse votre conviction.
Lire de telles conneries est effectivement déprimant.
Les vivre au quotidien l’est encore plus.
Être empathique en ce monde impacte immanquablement le mental.
Pas besoin d’être un « chercheur » de merde pour le comprendre.
Tout prétexte est bon pour encourager les viandards.
Ce genre d’article nourrit de fausses idées sur la santé et le bien être !